De nombreux minéraux sont nécessaires à la physiologie de l’organisme, tandis que d’autres sont des métaux toxiques. Certains peuvent être utiles ou néfastes, selon la dose, ou selon le contexte. Cette simple observation montre la complexité du rapport entre le corps et les métaux, la difficulté de savoir quand ils sont réellement néfastes, et comment faire pour les empêcher de nuire.
Cette nécessité adaptative est de plus en plus pressante, car les métaux sont de plus abondants dans le milieu ambiant. Il ne sont pas dégradables (ce sont des minéraux), donc dès lors qu’ils sont extraits du sol, ils finissent tôt ou tard dans l’écosystème, notamment la chaîne alimentaire, où ils s’accumulent progressivement. Nous devrons donc, de plus en plus, apprendre à vivre avec eux.
1. Toxicité proprement dite, proportionnelle à la dose, qui se manifeste en bloquant des enzymes ou en déviant certaines protéines de leur fonction. Cette toxicité directe commence dès les plus faibles doses pour les métaux traces toxiques. Elle ne se manifeste qu’en cas d’excès notable pour les autres.
2. Phénomènes allergiques, consécutifs à la sensibilisation du système immunitaire à la présence de certaines formes de métal. Métaux traces ou potentiellement toxiques sont tout aussi concernés par ce phénomène ! Le Nickel est celui qui est actuellement le plus souvent en cause.
– Développement ou non d’une sensibilisation allergique.
Au final, les effets néfastes sont certes liés à la quantité de métal, mais la susceptibilité individuelle est au moins aussi importante. Elle même déterminante en cas de contamination modérée.
On peut distinguer trois formes d’intoxication aux métaux :
1. L’intoxication aiguë et l’intoxication chronique manifeste, sont la conséquence d’une contamination importante. Elles donnent des symptômes caractéristiques. Elles sont connues et reconnues par la médecine conventionnelle, et classiquement traitées par des chélateurs.
2. L’allergie est liée à une sensibilisation individuelle, et non à la quantité. Sa forme cutanée (eczéma de contact) est très bien connue des allergologues. Sa forme générale, révélée par le test Melisa, est encore méconnue ou contestée.
3. L’intoxication chronique sournoise, dans laquelle il n’y a ni contamination importante, ni eczéma de contact, mais un mécanisme complexe dans lequel intoxication à bas bruit et allergie peuvent se combiner. Il n’y a pas de syndrome spécifique entrant dans les cases des descriptions connues, mais des signes généraux (fatigue, troubles neuro-psychiques, perturbations digestives, fragilité immunitaire…), et un rôle probable de cofacteur dans les maladies chroniques à causalité complexe : fatigue chronique, fibromyalgie, maladies auto-immunes, troubles neuro-fonctionnels de l’enfant, maladies neuro-dégénératives (Alzheimer, Parkinson).
1. La concentration dans un prélèvement (sang, urines, cheveux) n’a pas un lien constant avec la quantité globale présente dans l’organisme, et l’interprétation peut donc être erronée.
2. Du fait de notre sensibilité individuelle, le seuil à partir duquel un métal est néfaste n’est pas le même pour tous.
. L’appareil de mesure directe Oligoscann ne fournit pas actuellement d’éléments objectifs permettant d’évaluer la signification réelle des résultats obtenus.
– Pour une intoxication chronique sournoise, tous les tests peuvent apporter une information, mais les informations collectées peuvent être ambiguës et parfois contradictoires. Il appartiendra au praticien de choisir sur les critères disponibles si les métaux ont un rôle probable dans la pathologie globale, et s’il est potentiellement bénéfique d’entreprendre un processus de détoxication adapté. Dans ce cas, un questionnaire clinique adapté permet d’établir un état des lieux initial (avec une score), et plus tard, par exemple après 3 et 6 mois, de vérifier l’amélioration globale de l’état général, à partir des différentes fonctions sensibles aux métaux.
Il y a trois axes principaux :
1. Les chélateurs chimiques : très efficaces mais toxiques. À manier par ceux qui en ont l’expérience.
2. Les produits de santé naturels destinés à fixer et éliminer les métaux, nombreux et mal évalués. La plupart d’entre eux, à base de composés algaux de type Chlorella, ou de porphyrines, ont certes la capacité de fixer les métaux, mais ils ne passent pas significativement la barrière digestive et ne servent donc qu’à limiter l’entrée dans l’organisme. Un rôle préventif utile, mais pas une solution de détoxication générale.
3. Les solutions informatives aident l’organisme à se détoxiquer lui-même, à partir de son potentiel adaptatif. Deux approches sont aujourd’hui connues : l’homéopathie (qui a montré ses limites), et Dekelaction.
Dekelaction s’inscrit dans cette démarche. Les 7 actifs dilués et dynamisés en synergie ont été sélectionnés pour leur capacité optimale à aider l’organisme dans sa gestion favorable des métaux toxiques, afin de préserver ses fonctions physiologiques. Cette activité a été validée par deux expérimentions cliniques, l’une danoise *, l’autre française. Les deux ont montré chez la majorité des sujets testés une amélioration significative du score à un test clinique, et la négativation d’un test Melisa préalablement positif, en 3 à 6 mois. Ce qui correspond un changement profond du rapport du corps au métal, avec une amélioration de la santé générale.
Face aux métaux, dans un objectif d’optimiser notre santé, il nous appartient dans un premier temps de limiter les contaminations et d’utiliser les moyens efficaces reconnus pour nous détoxiquer en cas de contamination franche. De manière plus globale, pour vivre dans cet environnement désormais « métallisé », Nous devons accroître notre propre potentiel de neutralisation et d’élimination. Cela se fait plus ou moins naturellement. Une information biologique, comme le propose Dekelaction, peut y aider.
* Travaux d’Eva Lydeking Olsen sur Dekelaction : Tungmetal
la vidéo est disponible chez DIF Production (Réf ODT13-06)
Problème amalgame au plomb et mercure datant de 40 ans environ –
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