La médecine quantique (vibratoire) est-elle la médecine de demain ? C’est fort probable. Elle en sera au minimum une composante nécessaire. Les contours qu’elle dessine aujourd’hui ouvrent de grandes promesses, et soulèvent aussi de vraies inquiétudes.
Il serait plus juste de nommer cette nouvelle médecine « électromagnétique », « biophysique » ou « vibratoire », car elle n’a pas grand-chose à voir avec la mécanique quantique, dont les lois applicables à l’échelle particulaire se sont pas transposables à celle d’un organisme complexe (cf. phénomène de décohérence, HD Zeh – 1970) ! La médecine dite « quantique » s’appuie sur les lois établies par la physique moderne, au-delà de la chimie, qui reste le socle de la science médicale actuelle. Elle a montré l’importance des phénomènes électriques et électromagnétiques (vibratoires) dans les processus biologiques.
La recherche technologique a conçu des appareils capables de réaliser une lecture précise de cette dimension plus subtile du corps, à partir de certaines données mesurables. Un logiciel soigneusement élaboré en corrélant les signaux mesurés avec les données connues de témoins, permet ensuite la reconstitution d’un modèle visuel du corps vibratoire de la personne testée. Parfois, la machine propose aussi un soin en inversant la direction du flux vibratoire pour tenter de corriger les anomalies détectées. Elle peut aussi suggérer, en relation avec diverses bases de données, des solutions thérapeutiques (oligoéléments, compléments alimentaire, produits de santé naturels divers…) et un ajustement alimentaire, comme réponses thérapeutiques au terrain vibratoire détecté.
L’intérêt évident, par rapport aux approches énergétiques manuelles, est une lecture reproductible, permettant des évaluations objectives sur un grand nombre de sujets.
1) La médecine quantique n’a pas inventé l’approche vibratoire
Les médecines traditionnelles, notamment la médecine traditionnelle chinoise, ont depuis longtemps connaissance du corps vibratoire sur lequel on peut agir par diverses techniques. Elles sont fondées sur un long apprentissage, autour d’une connaissance validée par une pratique millénaire, dans le cadre d’une médecine globale dont elle n’est qu’une composante. Le mode de lecture par ressenti direct, ouvert à une part intuitive, peut s’adapter à la spécificité individuelle, notamment pour le soin choisi. La limite est la subjectivité de la lecture sensorielle, différente d’un praticien à l’autre, influençable par ce qu’il est, et qui ne permet pas d’évaluation objective, ni de réelle reproductibilité. On peut aussi mettre en avant le danger d’un praticien mal formé.
En fait, les deux approches, « quantique » et traditionnelle, agissent au même niveau, de manière différente, et pourraient être complémentaires dans une médecine globalisée. La différence majeure est que l’une est fortement mécanisée et peut être utilisée par un technicien non thérapeute, ou un thérapeute n’ayant avant cela aucune compétence particulière sur l’énergétique humaine. L’autre n’est accessible qu’après avoir suivi une formation qui, en principe, donne aussi un cadre cohérent pour l’utiliser. L’une comme l’autre peuvent avoir un usage adéquat ou déviant.
La question majeure est de savoir si l’on préfère une médecine humaine dans laquelle le thérapeute est le centre, ou une médecine mécanique dans laquelle la machine tend à s’y substituer, en standardisant la santé et la pathologie, par recherche de la case la plus adéquate dans un modèle préétabli.
2) Promesses et illusions
Les divers appareils aujourd’hui proposés pour une lecture du corps vibratoire savent détecter de multiples problèmes de santé. Il suffit, avec une pathologie organique ou fonctionnelle connue, de faire un bilan, sans rien dire, et observer ce que dit l’écran de l’appareil. Pour les sceptiques, l’expérience est souvent déroutante !
Voir la pathologie dans sa dimension vibratoire, sans créer de lésion dans l’organisme, sans utiliser de consommables, et avec un résultat immédiat, est évidemment une véritable avancée. Si en plus la machine peut générer des vibrations correctrices, c’est à dire faire à la fois le diagnostic et le soin, cela laisse rêveur !
Une médecine dont le fondement deviendrait quantique serait une vraie révolution, qui rendrait inutile bien des équipements et des traitements aujourd’hui très coûteux. Elle offrirait une même prise en charge plus facilement accessible à tous. Elle aurait aussi une action plus préventive dans la mesure où les problèmes sont décelés au niveau vibratoire, avant de se manifester sur un plan organique.
Pourquoi une telle médecine ne bénéficie-t-elle pas du soutien inconditionnel des autorités sanitaires ? Parce qu’elle menace certains intérêts économiques et en favorisent d’autre s? c’est Probable… Mais lui ouvrir trop grande la porte est-il souhaitable ?
3) Des limites bien réelles
Le risque est bien sûr d’idéaliser trop vite, en se focalisant sur les promesses et non sur la réalité. Si l’intérêt et les perspectives de la médecine « quantique » méritent une vraie attention, ses limites sont bien réelles et devraient être considérées avec discernement, avant de plonger un peu naïvement dans l’illusion de sa facilité.
1. L’image très parlante que l’on voit sur les écrans n’est pas une mesure directe de l’appareil, mais une construction de son logiciel à partir des signaux mesurés. Elle dépend donc de la manière dont a été paramétré ce logiciel. Une boîte noire qui a créé ses propres standards par corrélations statistiques, avec diverses cases, et va donner une image reconstruite à partir de ce référentiel. On connaît, par de multiples exemples passés, les risques de la modélisation automatisée. La représentation subjective finit par prendre le dessus sur la réalité objective, qu’elle est sensé éclairer mais finit par masquer. En d’autres termes, à force de se focaliser sur la carte, on oublie qu’elle n’est pas le territoire !
2. La comparaison avec des méthodes de référence (médecine occidentale conventionnelle, médecine traditionnelle chinoise) et la nature des ponts qui peuvent être établis font encore défaut. Par exemple, quelle valeur d’une détection de polypes dans le colon représentant un risque de cancérisation, par rapport à la coloscopie ? Quelle corrélation entre un bilan de santé global établi par la médecine quantique et celui établi par la MTC ? Apporter de nouvelles approches sans les corréler à celles qui servent de référence peut apporter davantage de confusion que d’éclairage.
3. La multiplication des appareils, issus de recherches concurrentes, avec des logiciels d’interprétation différents, va créer une diversité de diagnostic. Cela peut être vu comme une richesse, mais cela sera avant tout une cause de dispersion et de complication.
4. Le soin proposé par certains systèmes, direct ou par suggestion de produit, est une réponse mécanique, automatique, à l’anomalie détectée. Il permet en principe de corriger l’image, ce qui traduit une efficacité virtuelle, mais qu’en est-il dans la réalité de l’organisme ? Les données sont bien pauvres sur l’efficacité réelle de ces soins, qui semble à ce jour bien modeste.
4) Le danger de l’enfermement
Le principal danger de la médecine quantique est la normalisation subjective entre normal et pathologique qu’elle pourrait introduire, avec tous les enfermements auquel cela peut conduire. Il n’est pas rassurant que cette approche appareillée en plein développement soit issue d’une démarche privée et source de profit. Cette situation laisse la porte ouverte à tous les dérapages, les précédents ne manquent pas !
La concurrence entre diverses approches défendues par différentes sociétés (GDV, Physioscan, Polar, SCIO, AMSAT, Etioscan, Biospect, etc.) est sans doute une protection contre la normalisation unique. Mais cela favorisera fatalement une grande confusion, dans laquelle des normalités pourraient entrer en contradiction alors qu’elles abordent le même aspect de la santé. Et les échanges d’arguments et de critiques que l’on entend déjà entre partisans de divers appareillages ne sont pas rassurants !
L’autre enfermement tient au fonctionnement même de certaines de ces machines, qui, à partir de leur diagnostic, peuvent tout conseiller, y compris des traitements conçus sur mesure… Un système qui apporte à la fois le problème et la solution, avec un intéressement économique possible sur la solution, est la définition même d’un conflit d’intérêt !
4) Le choix d’une médecine humaine ou mécanique
Imaginons un instant que les machines quantiques se répandent et assurent le diagnostic et la solution thérapeutique pour le tout venant. On entrerait dans une normalisation plus contraignante que l’est actuellement un système de santé, déjà fortement normalisateur. La machine faisant l’essentiel, il n’y aura plus besoin d’une longue formation pour exercer des soins. Il faut de longues années pour apprendre la médecine traditionnelle chinoise et apporter des soins optimaux personnalisés à chaque cas. Il suffit de quelques jours pour apprendre à se servir d’une machine quantique qui apporte à chacun la solution normalisée programmée pour le diagnostic qu’elle a effectuée.
Bien sûr, on dira encore longtemps que la machine est un auxiliaire et que l’humain reste maître. À condition que le thérapeute reste compétent, ce qui sera de plus en plus difficile si la machine fait le travail pour lui.
Bien sûr, cela est encore loin et tout est dit pour rassurer qu’il n’en sera pas ainsi. Mais l’histoire nous apprend qu’une fois les pieds mis dans certains engrenages, l’évolution dont on avait juré qu’elle ne se ferait pas arrive progressivement, sans que l’on ne puisse plus rien faire quand elle s’est imposée.
La médecine quantique peut apporter beaucoup en entrant dans une nouvelle dimension moins toxique et plus efficace, et ceci pour de nombreux problèmes de santé. Mais elle ne résoudra pas tout. Si elle devenait la référence avec sa forme mécanisée actuelle, elle pourrait, comme la science médicale actuelle avec son monolithisme médicamenteux et chirurgical, progressivement tout voir par le champ de son œillère. Elle proposerait alors des solutions parfois inadaptées, tout en affirmant que c’est la seule reconnue par le système référent de validation.
On sait aujourd’hui que dans une approche globale, c’est l’ensemble de l’approche thérapeutique intégrant la singularité de chacun et la co-création d’une solution dans une relation vivante, qui est réellement guérisseuse et garante d’une santé optimisée,
Une machine sait très bien soigner une machine. Un humain a les moyens de soigner un humain, avec de nombreux outils thérapeutiques disponibles. Une machine peut-elle soigner un humain au-delà de la correction de symptômes ? Le progrès de la médecine sera-t-il avant tout celui de la technologie ou de la conscience humaine ? Les deux seront bien sûr nécessaires. La clef sera le choix de la priorité. Et cela se joue dès maintenant, pour chacun d’entre nous.
Pour ma part j’ai fait une séance de soin quantique : La biorésonnance avec des capteurs au pied, au poignet et au front
Depuis cette séance tout a été déréglé au niveau de mon corps dont les battements du cœur
Mal de tête pendants 3 mois, problèmes de sommeil, mal être
Lés fréquence envoyées m’ont déréglé
Déjà 6 mois que je me bas et depuis impossible de me récupérer
Recherche une autre personne qui aurai des symptômes après séance
Le praticien ne veut rien savoir !
En tant que naturopathe et thérapeute en biorésonance, je suis navrée que vous ayez eu une expérience négative avec cette technique. Plusieurs facteurs sont à prendre en compte pour le praticien.
1. La vitalité et le taux de charges (toxiniques, microbiens, stress) de la personne. Ces paramètres sont évalués par l’anamnèse ou par la mesure en biorésonance de l’énergie électromagnétique si l’appareil utilisé le permet. C’est un préalable indispensable pour adapter le traitement par la suite. Un corps dévitalisé ou très chargé en toxines doit recevoir un soin adapté et très doux.
2. En fonction de ces paramètres, le praticien doit faire des choix adaptés et cohérents aussi bien dans le type de fréquences correctives et sur l’intensité et l’amplitude de ces fréquences.
3. Il peut arriver après un soin de ressentir un peu de fatigue car le corps doit intégrer ces nouvelles fréquences et recherche une stabilité. Il peut arriver aussi qu’une infection latente se réveille (si c’est l’effet recherché) car la biorésonance permet au système immunitaire de fonctionner correctement. Mais ces inconforts ne devraient pas durer.
4. Dans le cas contraire, il est évident que le praticien doit revoir la personne, évaluer avec elle les symptômes et l’accompagner vers un mieux-être.
Dans votre cas précis, les symptômes que vous avez présentés sont évocateurs d’une libération d’une charge en toxines importante avec un organisme dont la capacité d’élimination était limitée au moment du soin. J’espère que vous avez pu retrouver un état de santé satisfaisant.
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Pour ma part, la biorésonance n’est pas un soin quantique. Ce terme est galvaudé par un bon nombre de thérapeutes malheureusement. L’énergie quantique fait référence à la plus petite quantité d’énergie qui est impliquée dans les interactions à l’échelle quantique, c’est-à-dire le niveau le plus fondamental et subatomique de la matière. Or l’énergie électromagnétique est mesurable dans la matière à des niveaux différents : de l’échelle de l’atome jusqu’à celle de la terre …
La biorésonance est une technique biophysique qui mesure et envoie des fréquences électro-magnétiques à un organisme qui va résonner ou non avec ces fréquences. Les objets corporels traités seront soit stimulés soit « neutralisés » selon les besoins personnalisés de la personne. La connaissance du vivant et les connaissances médicales sont à mon sens des pré-requis indispensables pour un thérapeute qui souhaiterait accompagner par la biorésonance ses patients.
Dre sc. Marie MOATTI (Naturopathe et Pharmacienne-Biologiste)
La situation que vous décrivez m’inspire deux remarques :
– La biorésonance, si elle est une technique de soin efficiente, peut inévitablement avoir des effets défavorables si elle est utilisée dans de mauvaises conditions, ce qui peut être dû à un manque de connaissance, à un manque d’attention, ou au fait de se retrouver dans une situation imprévisible. Cela ne remet pas en cause l’intérêt de la technique, cela invite en revanche à l’utiliser de manière responsable.
– Quand un soin conduit à une situation pire que celle qui l’a précédé, en tant que thérapeute, nous avons une responsabilité sur ce qui s’est passé et il nous revient de reconnaître qu’il y a eu un problème et être disponible pour en gérer les conséquences.
Il ne faut pas se focaliser du le mot « quantique » mais plutôt sur le sens qu’il véhicule ici. La médecine « quantique » est celle qui utilise des quantités infimes de matière voire pas du tout… En effet, on peut soigner souvent en s’affranchissant de la chimie « fine » (inévitablement) toxique et « à effets secondaires » mais explicable, raisonnable et figée dans la « science »… La (vraie) science, par ailleurs, ne pouvant en aucun cas être figée.
Le malade pour sa part n’attend pas qu’on décide pour lui de ce qui lui fait du bien, de ce qui est « scientifique » ou statistique ou justifié par le raisonnement et donc existant et vrai. Le malade est satisfait lorsqu’il est guérit. Il l’est moins lorsqu’il est seulement soulagé par le blocage d’une fonction ou l’inhibition d’une enzyme ou d’une sécrétion exocrine ou endocrine… et dont la multiplication conduit infailliblement à la mort, mais là est ce qu’on appelle « la science ». Le malade n’a cure de toutes les explications des hommes en blanc : seul le résultat compte!
Il serait plus clair de ne pas l’appeler quantique car elle n’a rien de quantique, et c’est d’ailleurs ce qui lui vaut d’être rejetée par la critique des sceptiques dans un article du Monde. À quoi sert de maintenir cette confusion ? C’est de la biorésonance, ou médecine vibratoire appareillée, ce qui est évidemment moins fun, mais plus honnête.
Dans un soin de biorésonance, ce n’est pas un soignant qui décide ce qui fait du bien ou pas, c’est un algorithme caché dans une boîte noire sur laquelle une société privée a tous les pouvoirs. Dans ce domaine, on joue la compétition et non la coopération, et on ne sait jamais trop quelle place prend les intérêts financiers dans un tel contexte. Obtenir un effet immédiat agréable n’est pas forcément un vrai bénéfice en terme durable, et c’est cela qui peut être recherché.
Le fait que la biorésonance donne des résultats étonnants dans le diagnostic (que l’on peut vérifier) est interpellant. Pour le soin, il y une part subjective difficile à évaluer. Et de vraies évaluations, on en manque vraiment. Que la médecine universitaire ne s’y intéresse pas (ou si peu) est affligeant et d’un autre côté, le fait que cette médecine se soit engouffrée dans une voie avant tout commerciale laissant planer le mystère n’y aide pas.
Merci pour cet article intéressant Il me semble que le bénéfice de cette approche mécanique comme vous dite serait majeur et optimal si elle était utilisée par des thérapeutes formés et expérimentés. Une machine est un outil créé par l’homme et donc limité à un usage déterminé et figé. Un grill pain ne sait pas faire un croque-monsieur à moins qu’on lui ait intégré cette fonction. Il n’a pas de volonté propre ni la possibilité d’évoluer plus vite que ce qu’on lui permettra. Par contre si on considère la machine pour ce qu’elle est, un outil, les progrès peuvent être fabuleux mais ne pourra décrypter que ce qu’on l’homme connaît déjà. A mon sens l’avancée majeure qu’apporte cette technologie à la médecine réside dans sa capacité à détecter très tôt un dysfonctionnement. Un être humain parlerait plus volontiers de déséquilibre mais pour la machine ce n’est qu’une donnée non conforme inexacte, un fil déconnecté, une erreur d’écriture. Un bug identifié selon des critères définis par l’homme qui l’a programmé. De même pour les propositions de « traitements ». Ceux-là aussi sont prédéfinis et figés par l’homme donc très limités. Pour être efficaces les deux approches doivent travailler ensemble. Un physicien n’est pas un informaticien qui lui-même n’est pas un praticien de la santé. Pourquoi les compétences diverses et variées ne pourraient t’elles pas se conjuguer plutôt que de chercher à se supplanter mutuellement.
Bien sûr c’est une conception idéaliste, naïve diraient certains, incapables de saisir l’importance de ces valeurs. Eh bien tant pis pour eux, en matière de santé et de souffrances, plus que toute autre, je veux me battre pour mes idéaux. Et d’un point de vue strictement individualiste, il faut être stupide ou désespéré pour accepter d’être manipuler par une machine seule, sans aucune supervision de personnes capables de comprendre un minimum ce qui est fait. En outre je trouve ahurissant que la machine propose des interventions sur le corps vibratoire ou autre, directement sans avis médical et à ce que je comprends sans laisser le temps de réflexion. Encore plus s’il s’agit d’intervenir au niveau énergétique c’est à dire les ondes électriques et électromagnétiques, domaine qui reste très peu documenté quant aux effets néfastes sur l’être humain. Les sociétés qui proposent ce genre de thérapie font sans nul doute signer à leurs clients cobayes un beau document les dégageant de toute responsabilité en cas de problème (technique, physique, psychique…) et conséquences indésirables. Et ça tiendrait juridiquement d’autant que sans l’intervention d’un médecin pas de erreur médicale donc pas de responsabilité !
On marche sur la tête !
La médecine quantique ne se limite pas à des appareils. Il existe maintenant des méthodes très simples et efficaces comme le M2P. Elle est sans doute d’abord utilisée pour de petits problèmes et pas de grosses pathologies. Mais l’avenir est de se libérer chaque jour de nos émotions et problèmes et de ne pas attendre d’être atteint d’une grosse pathologie. Pour moi c’est l’avenir. Les thérapies orientales sont déjà là-dedans depuis longtemps, mais les outils actuels sont de plus en plus rapides.
À mon sens, les techniques comme M2P travaillent sur le champ d’information (mémoires) dont la meilleure description est donnée par le Champ du Point Zéro (Bohm, Sakharov), le champ morphique (Sheldrake) ou le champ akashique (Laszlo). Dans tous les cas, nous sommes dans une autre dimension que la matière onde/particule, c’est pourquoi le terme quantique qui décrit cette matière ne me semble pas adapté.
L’action est d’ailleurs différente des soins énergétiques directs sur le corps (comme la biorésonance) et est de ce fait complémentaire.
D’ailleurs, la mécanique quantique ne prend pas en compte les champs d’informations… ce qui la limite dans sa capacité à expliquer le monde.
Merci !
Merci : cet article pose les bonnes questions et nous permet de réfléchir sérieusement à l’approche
Merci pour cet article. Il est bien rare de pouvoir lire des sujets de santé qui ne soient pas dogmatiques.
Olivier Tafanel – Praticien de Médecine traditionnelle chinoise.
Merci beaucoup pour cet article éclairant !