Vaccins - vérités et incertitudes
Les vaccins sont sujets à polémique, depuis longtemps sur leur utilité, leurs risques et leurs danger. La toxicité des adjuvants est mise en avant. Ce n’est pas la seule cause d’effets indésirables possibles suite aux injections vaccinales.

Voici un  inventaire rapide des effets délétères démontrés ou supposés, établis par les journalistes et les praticiens de santé qui sont intéressés aux conséquences néfastes de la vaccination.

I – DES FAITS DIFFICILEMENT CONTESTABLES

1) Présence de mercure

Le thiomersal ou thimérosal est un dérivé organique de mercure qui assure la bonne conservation des préparations vaccinales. Il n’a jamais été impliqué dans un risque aux conséquences identifiées, mais il contribue inévitablement à l’intoxication au mercure, particulièrement quand les vaccins s’enchaînent chez une même personne. D’autre part, on sait aujourd’hui que nous ne sommes pas tous égaux vis-à-vis du mercure et que chez certains d’entre nous, l’intoxication se manifeste après des apports relativement faibles.

2) Les adjuvants d’immunité

Ils sont nécessaires à l’efficacité de certains vaccins, qui ne fourniraient pas sans eux une protection suffisante.
– L’hydroxyde d’aluminium, largement utilisé dans le passé, est mis en cause dans les myofasciites à macrophages. On retrouve en effet le métal toxique dans les muscles atteints chez des malades préalablement vaccinés ! Bien qu’ils ne reconnaissent pas le lien de causalité, les industriels essaient de le remplacer.

–  Les émulsions lipidiques, notamment à base de squalène, sont désormais proposées. Elles n’ont à priori pas de toxicité directe, puisque le squalène est un précurseur du cholestérol naturellement présent dans l’organisme. Sur le danger de cet adjuvant, deux discours s’opposent et il est encore difficile, hors d’un avis partisan, de se prononcer sur la question. Du point de vue biologique, il est tout à fait cohérent qu’un constituant naturel de l’organisme utilisé artificiellement pour développer une réaction immunitaire favorise des processus auto-immuns.

3) Un dérèglement épidémiologique des maladies

Les maladies infectieuses ont leur cycle naturel. La rougeole et la rubéole, par exemple, touchaient la population le plus souvent lors de enfance, avec des complications rares. Depuis la vaccination massive, ces maladies circulent différemment et de nombreux enfants y échappent. Cela accroît les formes adultes de la maladie (souvent plus sévères), chez des personnes non vaccinées ou vaccinées sans avoir reçu de rappel, ayant perdu l’immunité protectrice.

4) La privation d’une possibilité d’immunité forte et définitive

Après une maladie infantile comme la rougeole, la rubéole, les oreillons, il se développe une immunité forte et définitive et la maladie ne surviendra plus. Après une grippe, la vaccination confère une immunité durable qui atténue significativement les conséquences des contaminations ultérieures.

La vaccination en revanche donne une immunité faible et transitoire. On se retrouve ainsi fragilisé vis-à-vis de la maladie quelques années plus tard, à moins de faire des rappels réguliers… Pour une maladie bénigne, il est donc plus avantageux de passer par la maladie pour construire son immunité.

5) Affaiblissement et dérèglement du système immunitaire

Il est évident qu’entre le processus naturel : c’est-à-dire une maladie qui entre par les poumons et pénètre progressivement dans l’organisme, et une vaccination qui injecte directement un antigène, le système immunitaire n’est pas stimulé de la même manière. Et il semble évident qu’en cas d’injection vaccinale, la composante locale de l’immunité n’est pas stimulée et le système immunitaire s’adapte comme il peut à cette situation pour laquelle il n’a pas été prévu.
D’autre part, l’injection de vaccin tri, tétra ou pentavalent créent une situation qui n’existe pas naturellement (toutes les maladies d’un seul coup) et l’adaptation évolutive n’a pu donner au système immunitaire d’une capacité innée à gérer cela. Tout comme la présence avec les antigènes vaccinaux de débris de culture cellulaire. Et là aussi, il s’adapte comme il peut, sans que l’on puisse en connaître les conséquences.

Les effets sont difficiles à évaluer. Le risque théorique ne peut être nié et l’aggravation des maladies de l’immunité au cours du siècle dernier est un fait établi. On suspecte les vaccins de favoriser un affaiblissement global du potentiel immunitaire (avec une sensibilité accrue au SIDA en tant que syndrome) et un risque plus grand de développer une maladie auto-immune.

II – DES FAITS PLUS CONTESTABLES ET DIFFICILES À DÉMONTRER

1) Des suspicions sur la sécurité sanitaire

Certains vaccins sont préparés à partir de cultures cellulaires issues de tissus animaux. Ces cultures sont indemnes d’agents pathogènes connus, mais peuvent être porteuses de virus encore inconnus et générer des contaminations. Pas de faits démontrés à ce sujet, mais des suspicions qui n’ont pas vraiment été explorées. Ainsi, une campagne de vaccination anti-polio en Afrique pourrait être à l’origine d’une vague de contamination par le virus HIV, avant que celui-ci soit identifié. Le mystère des hépatites C chez des sujets n’ayant eu ni transfusion ni pratique toxicomanique met un doute sur tout ce qui leur a été injecté…

2) Le rôle constructeur perdu des maladies infantiles

Cette notion a été révélée par Rudolf Steiner (inspirateur de la médecine anthroposophique). Elle stipule que certaines maladies comme la rougeole auraient un rôle important sur la construction de l’enfant. Cela ne peut être ni validé, ni invalidé. Il s’agit d’une croyance personnelle que l’on adopte ou pas.

3) Les « barrages énergétiques »

Cette notion est liée à la conception énergétique des processus biologiques. Elle prétend que l’arrivée d’un vaccin à un moment particulier de la vie peut cristalliser un blocage lié à ce moment, avec une perte durable d’énergie disponible. Un test à l’électromètre de Voll montre la déficience énergétique qui peut être corrigée par une dilution du vaccin en cause. Les mesures effectuées sont relatives et leur interprétation est contestable, mais celles et ceux qui ont expérimenté une levée de barrage par isothérapie vaccinale savent qu’il se passe vraiment quelque chose à ce niveau !

III –  EN CONCLUSION

Cet inventaire cite des effets possibles pour certains vaccins. Ces effets sont difficiles à évaluer dans un cas précis, du fait de la composition variable des différents vaccins et de susceptibilité individuelle. Les conséquences néfastes entrent le plus souvent dans le cadre d’un mécanisme polyfactoriel dans lesquels ont ne peut isoler la part individuelle d’un facteur causal. C’est pourquoi il est plus facile de nier les problèmes vaccinaux que de les démontrer.

Illustration : gopixa :  AdobeStock_405153411

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